A Monsieur le Président d’une Algérie que j’ai voulue indépendante
Monsieur, Je me permets d’attirer votre attention sur ma situation critique. Ma retraite et la petite pension de guerre que je perçois ne me permettent pas de vivre convenablement. D’ailleurs, mon épicier, mon boucher, ma supérette pourront témoigner...